Je ne sais pas si y’a une meilleure approche, ou si ce n’est pas plutôt la capacité de l’intervenant de jongler entre les différentes approches qui est en fait déterminante.
Professeur-chercheur à l’UQO et membre du CREMIS
Cette section du dossier vise à:
- Explorer davantage la nécessaire adaptation des pratiques.
Cette section interpellera plus spécifiquement les personnes travaillant dans l’univers de l’intervention bio-psycho-sociale et les étudiant.e.s en formation (par exemple travail social, sciences infirmières, éducation spécialisée)
Pierre Pariseau-Legault, professeur-chercheur à l’UQO, rappelle l’importance de mobiliser une diversité d’approches d’intervention pour soutenir adéquatement les personnes. Il aborde également les questions de gestion du risque qui sont inhérentes à l’accompagnement des personnes judiciarisées dans la communauté.
Sommaire de navigation de la capsule vidéo :
- Les particularités de l’intervention en DI-TSA – 0:26
- De l’aversion du risque à la dignité du risque – 3:46
- Savoir jongler avec les approches – 10:41
- Des compétences à mobiliser – 15:47
- Accompagner les petits pas (24:33 à 26:33) – durée 2:00
La culture d’aversion au risque peut être très problématique parce qu’elle peut parfois donner des réflexes d’interventions qui sont très contraignants sur le plan de l’autonomie de la personne.
Professeur-chercheur à l’UQO et membre du CREMIS