Balados

Décrypter les inégalités sociales propose une série d’entretiens réalisés avec des membres du CREMIS afin de permettre d’approfondir la compréhension du public au sujet des inégalités sociales et des mécanismes qui les reproduisent. Ces entretiens visent à également à se familiariser avec les débats traversant la littérature scientifique et les travaux de recherche contemporains. Nous espérons que ce balado contribuera à soutenir la capacité d’actions des intervenant∙e∙s en leur donnant des repères pour enrichir leur compréhension et leur analyse des inégalités sociales.

Le CREMIS propose une toute nouvelle série réunissant une variété de productions audios réalisées par l’équipe et les membres du CREMIS, ainsi que différents partenaires. Qu’il s’agisse de balados, d’enregistrements d'entretiens ou d’échanges plus spontanés, ces productions couvrent un large éventail de sujets abordés dans les travaux du CREMIS. Elles permettent de plonger dans la recherche, de partager des questionnements et de mettre en lumière des pratiques d'intervention et ce, en croisant différents savoirs et expertises. D’autres productions alimenteront graduellement cette nouvelle série bricolée collectivement. Découvrez-les!

En avril 2020, un premier épisode de Sur le vif voyait le jour, et ce, en plein contexte de crise sociale et sanitaire. Les épisodes du balado donnaient à entendre des témoignages de chercheur·euses, et d’intervenant·es œuvrant dans ce contexte et constituaient des espaces de réflexion collective sur ce que nous vivions dans le moment. Bien qu’il soit toujours mû par une volonté de saisir des réflexions témoins de l’histoire en cours, le balado s’attèle aujourd’hui à une tâche un peu différente. Dans chaque épisode, des chercheur·es et intervenant·es sont amené·es à présenter leurs constats ou impressions à chaud sur des inégalités sociales persistantes et insidieuses et sur les trajectoires des personnes qui en font l’expérience. Leurs témoignages pourront donner l’impression aux auditeur·rices que ces invité·es ont un accès privilégié à ce qui pourrait ressembler à une crise sociale, mais qui en fait reflète des mutations de l’État social qui précèdent la pandémie et perdurent dans le temps.